i'm back but i'm far
le ski.
le ski c'était chouette. les vacances en elles-même plutôt bien. les gens tout à fait supportables, en dehors d'un de mes cousins dont la salegosserie s'empire au fil du temps. une semaine j'ai tenu. nowel, même pas atroce.
juste se rendre compte Encore une fois que les gens se trompent tellement sur moi. Du moins elle. C'est pourtant celle que je préfère. La moins enfermée dans sa petite vie, dans sa petite monotonie, la plus artiste, la moins... terre-à-terre... alors je penserais pas qu'elle se planterait à ce point. c'est pas grave. L'objet, en somme on s'en fout. C'est plus l'idée pas réconfortante que ça amène. L'idée qu'on a beau POUR UNE FOIS ne pas se cacher complètement et que malgré tout, même les gens chouettes ne nous voient pas.
et je rentre. Et forcément, c'est toujours quand je suis pas là qu'il se passe des trucs chouettes. des trucs over chouettes. qu'il se passe des trucs tout court même.
et puis je reçois une carte presque conventionelle de mon amie d'enfance. et nos 10 ou 15 ans de meilleure-amitié-du-monde-de-tous-les-temps presque fusionnelle résumée "j'espère que tu vas bien mais je n'en doute pas tu avais l'air très bien la dernière fois qu'on s'est vues -oui, c'est vrai, au moins 30 secondes et dix mots- passes de bonnes fêtes gros bisous etc". oui.oui!OUI! ça me fait mal. un grand sourire ironique, plein de nostalgie de merde.
[j'crois que les échanges sur mon joueb sont encore plus inexistants que ceux avec les autres]
le ski c'était chouette. les vacances en elles-même plutôt bien. les gens tout à fait supportables, en dehors d'un de mes cousins dont la salegosserie s'empire au fil du temps. une semaine j'ai tenu. nowel, même pas atroce.
juste se rendre compte Encore une fois que les gens se trompent tellement sur moi. Du moins elle. C'est pourtant celle que je préfère. La moins enfermée dans sa petite vie, dans sa petite monotonie, la plus artiste, la moins... terre-à-terre... alors je penserais pas qu'elle se planterait à ce point. c'est pas grave. L'objet, en somme on s'en fout. C'est plus l'idée pas réconfortante que ça amène. L'idée qu'on a beau POUR UNE FOIS ne pas se cacher complètement et que malgré tout, même les gens chouettes ne nous voient pas.
et je rentre. Et forcément, c'est toujours quand je suis pas là qu'il se passe des trucs chouettes. des trucs over chouettes. qu'il se passe des trucs tout court même.
et puis je reçois une carte presque conventionelle de mon amie d'enfance. et nos 10 ou 15 ans de meilleure-amitié-du-monde-de-tous-les-temps presque fusionnelle résumée "j'espère que tu vas bien mais je n'en doute pas tu avais l'air très bien la dernière fois qu'on s'est vues -oui, c'est vrai, au moins 30 secondes et dix mots- passes de bonnes fêtes gros bisous etc". oui.oui!OUI! ça me fait mal. un grand sourire ironique, plein de nostalgie de merde.
[j'crois que les échanges sur mon joueb sont encore plus inexistants que ceux avec les autres]
Illicitement gravé par : ac-col-ade, a 23:30 sur la face C d'un disque rayé des biteulzes.
Médire